Cahiers de prison
39,00 €
37,05 €
Économisez 5%
En 2011, l'arrestation du Président GBAGBO et l'emprisonnement de nos dirigeants me conduisirent à la plus grande audace : c'est au plus haut qu'il me fallait hisser le Front Populaire Ivoirien.
Ma témérité et ma combativité consistaient uniquement dans l'intransigeance en faveur de la libération du président GBAGBO.
Dans cette période difficile de 2011, pour échapper aux armes des rebelles, je me suis condamné à une vie clandestine, plaidant au milieu des armes la cause du président GBAGBO, défendant les opprimés.
Ma témérité et ma combativité consistaient uniquement dans l'intransigeance en faveur de la libération du président GBAGBO.
Dans cette période difficile de 2011, pour échapper aux armes des rebelles, je me suis condamné à une vie clandestine, plaidant au milieu des armes la cause du président GBAGBO, défendant les opprimés.
Justin Koua, homme politique, ex-prisonnier politique, anciennement responsable de la Jeunesse du Front Populaire Ivoirien, est aujourd'hui Secrétaire général adjoint et Porte-Parole du Front Populaire Ivoirien (FPI).
Il est titulaire d'un DEA en Philosophie politique et sociale.
Il est titulaire d'un DEA en Philosophie politique et sociale.
Fiche technique
- Auteur
- Justin Koua
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pays
Côte d'Ivoire
30 autres produits dans la même catégorie :
Voir tout
En 2011, l'arrestation du Président GBAGBO et l'emprisonnement de nos dirigeants me conduisirent à la plus grande audace : c'est au plus haut qu'il me fallait hisser le Front Populaire Ivoirien.
Ma témérité et ma combativité consistaient uniquement dans l'intransigeance en faveur de la libération du président GBAGBO.
Dans cette période difficile de 2011, pour échapper aux armes des rebelles, je me suis condamné à une vie clandestine, plaidant au milieu des armes la cause du président GBAGBO, défendant les opprimés.
Ma témérité et ma combativité consistaient uniquement dans l'intransigeance en faveur de la libération du président GBAGBO.
Dans cette période difficile de 2011, pour échapper aux armes des rebelles, je me suis condamné à une vie clandestine, plaidant au milieu des armes la cause du président GBAGBO, défendant les opprimés.