Lambeaux d'errance
11,00 €
10,45 €
Économisez 5%
Haj'Art nous embarque brusquement dans son halo doucereux.
Une plume savoureuse qui retrace un climat piquant.
SOUPIR ! L'amour, la douleur, la peur, le désespoir, la haine ; tous entre la tristesse hugolienne et le spleen baudelairien sont les peintures qui badigeonnent cette versification tantôt hermétique, tantôt surréaliste.
Entre l'engagement fougueux et l'intimisme discret, le parcours des « Soupirs » est mouvementé, la syntaxe agitée et l'image vivante.
Une plume savoureuse qui retrace un climat piquant.
SOUPIR ! L'amour, la douleur, la peur, le désespoir, la haine ; tous entre la tristesse hugolienne et le spleen baudelairien sont les peintures qui badigeonnent cette versification tantôt hermétique, tantôt surréaliste.
Entre l'engagement fougueux et l'intimisme discret, le parcours des « Soupirs » est mouvementé, la syntaxe agitée et l'image vivante.
Hajar Pourmera Thiam est étudiante en droit à l'université Gaston Berger de Saint-Louis.
Passionnée d'art oratoire, elle est également slameuse et mention spéciale du prix Alain Decaux de la francophonie.
Passionnée d'art oratoire, elle est également slameuse et mention spéciale du prix Alain Decaux de la francophonie.
Fiche technique
- Auteur
- Hajar Pourmera Thiam
- Éditeur
- L'Harmattan
- Année
- 2019
- Pays
Sénégal
30 autres produits dans la même catégorie :
Voir tout
Quand la démocratie fait ses naufragés et que Dieu semble se taire
Jean-Pierre Bah'Ogwerhe Cirimwami
26,00 €
-5%
24,70 €
Haj'Art nous embarque brusquement dans son halo doucereux.
Une plume savoureuse qui retrace un climat piquant.
SOUPIR ! L'amour, la douleur, la peur, le désespoir, la haine ; tous entre la tristesse hugolienne et le spleen baudelairien sont les peintures qui badigeonnent cette versification tantôt hermétique, tantôt surréaliste.
Entre l'engagement fougueux et l'intimisme discret, le parcours des « Soupirs » est mouvementé, la syntaxe agitée et l'image vivante.
Une plume savoureuse qui retrace un climat piquant.
SOUPIR ! L'amour, la douleur, la peur, le désespoir, la haine ; tous entre la tristesse hugolienne et le spleen baudelairien sont les peintures qui badigeonnent cette versification tantôt hermétique, tantôt surréaliste.
Entre l'engagement fougueux et l'intimisme discret, le parcours des « Soupirs » est mouvementé, la syntaxe agitée et l'image vivante.