Le silence des poètes
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"Peur sur la ville.
Il me semble que c'est le titre d'un livre ou d'un film.
Je ne sais plus.
Ici la peur a largement débordé les limites de la cité.
Elle est partout.
Omniprésente.
Etouffante.
Insidieuse.
Elle règne sans partage, maîtresse tyrannique et absolue.
Peur sur un pays.
J'ai peur, comme tout le monde.
Inutile de le dissimuler plus longtemps.
La frousse m'habite en permanence, compagne fidèle et vénéneuse.
Elle me prend aux tripes dès le saut du lit, puis elle croît, s'amplifie pour atteindre son paroxysme au crépuscule.
La nuit est son empire.
Il me semble que c'est le titre d'un livre ou d'un film.
Je ne sais plus.
Ici la peur a largement débordé les limites de la cité.
Elle est partout.
Omniprésente.
Etouffante.
Insidieuse.
Elle règne sans partage, maîtresse tyrannique et absolue.
Peur sur un pays.
J'ai peur, comme tout le monde.
Inutile de le dissimuler plus longtemps.
La frousse m'habite en permanence, compagne fidèle et vénéneuse.
Elle me prend aux tripes dès le saut du lit, puis elle croît, s'amplifie pour atteindre son paroxysme au crépuscule.
La nuit est son empire.
Fiche technique
- Auteur
- Ahmed Taleb
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pages
- 146
- Pays
Algérie
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"Peur sur la ville.
Il me semble que c'est le titre d'un livre ou d'un film.
Je ne sais plus.
Ici la peur a largement débordé les limites de la cité.
Elle est partout.
Omniprésente.
Etouffante.
Insidieuse.
Elle règne sans partage, maîtresse tyrannique et absolue.
Peur sur un pays.
J'ai peur, comme tout le monde.
Inutile de le dissimuler plus longtemps.
La frousse m'habite en permanence, compagne fidèle et vénéneuse.
Elle me prend aux tripes dès le saut du lit, puis elle croît, s'amplifie pour atteindre son paroxysme au crépuscule.
La nuit est son empire.
Il me semble que c'est le titre d'un livre ou d'un film.
Je ne sais plus.
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Elle est partout.
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Etouffante.
Insidieuse.
Elle règne sans partage, maîtresse tyrannique et absolue.
Peur sur un pays.
J'ai peur, comme tout le monde.
Inutile de le dissimuler plus longtemps.
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Elle me prend aux tripes dès le saut du lit, puis elle croît, s'amplifie pour atteindre son paroxysme au crépuscule.
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