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Les tumeurs oncocytaires de la thyroïde sont considérées, selon la dernière classification de l’Organisation Mondiale de la Santé 2017, comme une entité anatomo-clinique distincte regroupant les adénomes et les carcinomes.
Elles représentent 1,2% à 10% des tumeurs thyroïdienne opérées.
Leur incidence a connu une hausse significative au cours des dernières décennies, due au développement des explorations par l’échographie et la cytoponction.
Ces tumeurs caractérisées par la présence de plus de 75% d’oncocytes, regroupent les tumeurs bénignes: adénomes oncocytaires et les tumeurs malignes: carcinomes oncocytaires.
La distinction entre malignité et bénignité constitue une difficulté de taille sur le plan anatomopathologique.
De cet aspect découlent des contraintes dans l’attitude thérapeutique à adopter.
L’Association Américaine de la Thyroïde 2015 classe les carcinomes oncocytaires en trois catégories de risque de récidive en fonction des données histologiques et des critères d’invasion locale et à distance.
Alia ZEHANI, docteur et assistante hospitalo-universitaire au service d'Anatomie Pathologique à l'Hôpital La Rabta de Tunis.
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