Le roman postmoderne: une lecture sémiotico-déconstructive
98,90 €
93,95 €
Économisez 5%
Ce travail est une analyse bidimensionnelle du roman de la déconstruction.
C’est une double lecture, la première est la sémiotique interprétative de U.Eco et la seconde la déconstruction de J.Derrida.
Les romans choisis sont : Si pur une nuit d’hiver un voyageur d’I.Calvino, Perdu dans le labyrinthe de J.Barth et Marelle de J.Cortázar.
Ces œuvres se distinguent par le leurre narratif.
Le titre n’est plus le miroir de l’œuvre mais un piège de lecture.
Les incipit ne sont plus dans la détermination de l’espace…, mais ils se veulent le concentré du roman à venir.
Le roman de la déconstruction chante l’inachèvement, la narration est délibérément inachevée pour donner forme à une œuvre ouverte et non close.
La déconstruction narrative est une fragmentation et une dépragmatisation avec le recours à la digression et l’autoréflexion pour briser la prétention de la continuité de la narration.
Enfin, le jeu narratif exige la participation du lecteur.
Le jeu appliqué expérimente de nouvelles formes narratives, tissées entre les structures ludiques.
En somme, le roman de la déconstruction implique le lecteur, comme co-créateur de l’œuvre, une œuvre en cours ‘Work in progress’.
Yamine Lyamani est docteur ès lettres en littérature générale et comparée à l’université de Paris III Sorbonne nouvelle.
Il est professeur de communication à l’Institut National de Statistique et d’Économie Appliquée à Rabat.
Actuellement, il prépare un livre sur le discours politique promesse, rhétorique, songerie et mensonge.
Fiche technique
- Auteur
- Lyamani Yamine
- Langue
- Français
- Éditeur
- Noor Publishing
- Pages
- 616
- Pays
Maroc
4 autres produits dans la même catégorie :
Voir tout
Manuels de lecture et initiation littéraire au Sénégal et en Guinée
Birahim Madior Thioune
33,50 €
-5%
31,82 €
Ce travail est une analyse bidimensionnelle du roman de la déconstruction.
C’est une double lecture, la première est la sémiotique interprétative de U.Eco et la seconde la déconstruction de J.Derrida.
Les romans choisis sont : Si pur une nuit d’hiver un voyageur d’I.Calvino, Perdu dans le labyrinthe de J.Barth et Marelle de J.Cortázar.
Ces œuvres se distinguent par le leurre narratif.
Le titre n’est plus le miroir de l’œuvre mais un piège de lecture.
Les incipit ne sont plus dans la détermination de l’espace…, mais ils se veulent le concentré du roman à venir.
Le roman de la déconstruction chante l’inachèvement, la narration est délibérément inachevée pour donner forme à une œuvre ouverte et non close.
La déconstruction narrative est une fragmentation et une dépragmatisation avec le recours à la digression et l’autoréflexion pour briser la prétention de la continuité de la narration.
Enfin, le jeu narratif exige la participation du lecteur.
Le jeu appliqué expérimente de nouvelles formes narratives, tissées entre les structures ludiques.
En somme, le roman de la déconstruction implique le lecteur, comme co-créateur de l’œuvre, une œuvre en cours ‘Work in progress’.