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L’état actuel des connaissances en égyptologie africaine permet d’affirmer avec une certitude justifiée que l’Égypte ancienne était une civilisation négro-africaine.
Les travaux révolutionnaires de Cheikh Anta Diop et de nombreux autres chercheurs africains ont permis d’établir une filiation limpide (au niveau culturel, linguistique, anthropologique, philosophique, historique, sociologique, et religieux) entre les peuples négro-africains et celui de l’Égypte antique.
Cela ne fait plus l’ombre d’aucun doute : l’Égypte pharaonique était nègre.
En tant que berceau d’une grande civilisation, elle a produit une quantité insoupçonnée de textes littéraires et philosophiques, parmi lesquels, des textes sacrés, en particulier les hymnes qui nous intéressent dans le cadre de cette réflexion.
Ce foisonnement de textes hautement esthétiques devrait pourtant intéresser la critique littéraire africaine qui tarde encore à entrer dans la grande arène des sciences qui composent l’égyptologie africaine moderne.
Ngong Bertrand Collins est un chercheur et écrivain.
Passionné de culture, de langues et de littérature, il a une formation de germaniste et de critique littéraire à l’Université de Yaoundé I.
Il est assistant scientifique et d’édition au sein de la Fondation AfricAvenir International et prépare parallèlement un doctorat en littérature africaine.
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