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L’administration coloniale française au Cameroun et particulièrement dans la Subdivision de Dschang a été très contraignante et même sanglante.
Malgré les contestations des indigènes portées par les chefs traditionnels en ce qui concerne leur état civil notamment les mariages, force est restée à la loi.
Sur tous les domaines de la vie publique et surtout privée, celle-ci a été le « nœud gordien » de la règlementation française au Cameroun.
En réalité, le colonisateur français dans sa volonté d’implémenter sa politique sociale a mis en cause des valeurs et pratiques ancestrales conformes à la société traditionnelle.
Le fait majeur de cette désacralisation de ces valeurs est l’introduction du divorce dans les mœurs des populations.
Désormais les séparations de faits, jadis observées jusque-là, dans la Subdivision Dschang, se transforment en séparations de droit.
La question que nous nous posons est la suivante : Quelles sont les raisons de l’introduction du divorce dans la Subdivision de Dschang ? En d’autres termes qu’est ce qui a poussé la population de la Subdivision de Dschang à acquérir d’autres « habitus » ?
Ngono Dieudonne né le 03-08-1975 à Nkolassa (Cameroun) dans la région du Centre.
Ses études primaires et secondaires sont sanctionnées par le C.E.P.E et le Baccalauréat A4 Espagnol respectivement à l’école publique de liali-gombi et au lycée de Bot makak.
Une fois à l’Université il jeta son dévolu aux sciences juridiques et politiques.
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