Zazakely et la réinsertion des jeunes femmes en milieu défavorisé
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En fait, de ses fondements philosophiques, théologiques et bibliques à sa percée sociologique et anthropologique, les études du genre n’ont pas encore mérité l’intérêt constant des historiens; de ce fait le manque à combler est grand.
Manque qui se perçoit par la rareté d’écrits sur les dimensions historiques des études « genrées».
Il revêt alors d’un intérêt scientifique de faire une étude sur le genre car si l’on veut cerner les contours historiques de la vie d’un peuple, il faut avant tout s’intéresser à toutes les couches sociales qui la composent; mieux s’intéresser aux relations qui les lient.
Dans notre cas, nous avons souhaité voir de plus près les structures qui aident ce pays à se rendre compte qu’une importante partie de la population sinon la moitié est lésée pour des considérations traditionnelles, religieuses, culturelles ou encore historiques.
Considérations, que l’on a tenté d’attribuer à la nature même de la vie.
Résumant ainsi des siècles de domination et de subordination de la femme par l’homme, à la nature ou à l’ordre biologique des Hommes.
Louise Yao-Klaourou, titulaire d'un MASTER en Histoire, enseigne depuis 5 ans dans une école pour filles où elle participe à l'éclosion d'une intelligentsia féminine.
Elle tient aussi un blog sur le genre et est Présidente de l'Association des Universitaires pour le GENRE (AUGE/CLUB GENRE).
Elle prépare une Thèse Unique sur le genre.
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