Oujda ou Une enfance marocaine
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Bientôt, les dernières voix qui ont connu le Maroc d'avant l'indépendance se seront tues.
Il est donc urgent et opportun de faire revivre, grâce à ce récit d'apprentissage porté par un regard d'enfant dans une ville marocaine du nord-est du pays, ce que furent les relations entre deux peuples cohabitant sur un même sol.
À partir du journal tenu par sa mère sur sa petite enfance, l'auteur relate avec réalisme, beaucoup de sensibilité et parfois même une discrète émotion, ses souvenirs personnels.
Il est donc urgent et opportun de faire revivre, grâce à ce récit d'apprentissage porté par un regard d'enfant dans une ville marocaine du nord-est du pays, ce que furent les relations entre deux peuples cohabitant sur un même sol.
À partir du journal tenu par sa mère sur sa petite enfance, l'auteur relate avec réalisme, beaucoup de sensibilité et parfois même une discrète émotion, ses souvenirs personnels.
Jacques Gayet, né à Oujda en 1943, a quitté sa ville natale en 1955, après une douloureuse expérience vécue par ses parents, pour suivre des études secondaires et universitaires en France.
Christian Nucci, ancine ministre, qui a écrit la préface, et un ancien élève et professeur du lycée d'Oujda.
Fiche technique
- Auteur
- Jacques Gayet
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pages
- 226
- Pays
Maroc
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Bientôt, les dernières voix qui ont connu le Maroc d'avant l'indépendance se seront tues.
Il est donc urgent et opportun de faire revivre, grâce à ce récit d'apprentissage porté par un regard d'enfant dans une ville marocaine du nord-est du pays, ce que furent les relations entre deux peuples cohabitant sur un même sol.
À partir du journal tenu par sa mère sur sa petite enfance, l'auteur relate avec réalisme, beaucoup de sensibilité et parfois même une discrète émotion, ses souvenirs personnels.
Il est donc urgent et opportun de faire revivre, grâce à ce récit d'apprentissage porté par un regard d'enfant dans une ville marocaine du nord-est du pays, ce que furent les relations entre deux peuples cohabitant sur un même sol.
À partir du journal tenu par sa mère sur sa petite enfance, l'auteur relate avec réalisme, beaucoup de sensibilité et parfois même une discrète émotion, ses souvenirs personnels.