Partant d'un constat sur le comportement des musiciens congolais depuis quelques années, l'auteur se demande si la musique congolaise peut contribuer à l'éducation, mieux à l'éducation à la citoyenneté.
C'est ainsi qu'il fait l'historique de la musique congolaise, de la traditionnelle à la moderne, tout en établissant des convergences et divergences entre la musique chrétienne et la musique profane.
Il trouve que la musique a une noble mission bafouée ou banalisée par les musiciens congolais.
Martin Fortuné Mukendji Mbandakulu est Secrétaire Général de l'AICA/R.D.
Congo ; 1er Président du Comité National du FESPAM/RDC.
Il enseigne les cours de Philosophie de l'art, des Questions spéciales d'esthétique, d'Histoire de l'art et d'architecture, d'éthique et déontologie et d'éducation à la citoyenneté.
Partant d'un constat sur le comportement des musiciens congolais depuis quelques années, l'auteur se demande si la musique congolaise peut contribuer à l'éducation, mieux à l'éducation à la citoyenneté.
C'est ainsi qu'il fait l'historique de la musique congolaise, de la traditionnelle à la moderne, tout en établissant des convergences et divergences entre la musique chrétienne et la musique profane.
Il trouve que la musique a une noble mission bafouée ou banalisée par les musiciens congolais.