Diversité floristique du massif de Béni Melloul (Aurès-Algérie)
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Cas de pineraie, chênaie et thuriféraie
Cette étude sur la diversité floristique a porté sur les écosystèmes forestiers du massif des Béni Melloul, situé dans les monts des Aurès oriental dans une zone semi aride de l’Est Algérien.
Douze (12) stations, réparties à raison de 4 stations par type d’écosystème (Pineraie, Chênaie, Thuriféraie), ont été échantillonnées et analysées dans le but d'identifier les principales espèces végétales constituant le cortège floristique de ces écosystèmes.
Quatre vingt dix neuf (99) espèces qui se rattachent à 74 genres et 32 familles ont été recensées.
Une analyse floristique est effectuée à travers le calcul de plusieurs paramètres écologiques (fréquence centésimale, occurrence, richesse spécifique, taux de recouvrement, indice de similitude).
Cette analyse a montré une grande similitude entre la pineraie et la chênaie en matière de richesse floristique et de conditions écologiques.
Contrairement à la thuriféraie qui apparaît relativement plus pauvre.
Les résultats obtenus ont révélé l’existence de six (6) types biologiques dont les plus fréquents sont les thérophytes (27%) suivis des hémicryptophytes (26%), les chamaephytes (20%).
Menasri Ammar, ancien cadre des forêts de la wilaya de Khenchela - Algérie, où il a dirigé du 1993 à 2015, des travaux de gestion et du développement forestier.
Ensuite et après un magistère sur la conservation de la Bd, il rejoint l'université Abbès Laghrour-Khenchela (déc-2015), où en assurant l'enseignement et le chef de département d'agronomie.
Fiche technique
- Auteur
- Ammar Menasri
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions universitaires européennes
- Pays
Algérie
Cas de pineraie, chênaie et thuriféraie
Cette étude sur la diversité floristique a porté sur les écosystèmes forestiers du massif des Béni Melloul, situé dans les monts des Aurès oriental dans une zone semi aride de l’Est Algérien.
Douze (12) stations, réparties à raison de 4 stations par type d’écosystème (Pineraie, Chênaie, Thuriféraie), ont été échantillonnées et analysées dans le but d'identifier les principales espèces végétales constituant le cortège floristique de ces écosystèmes.
Quatre vingt dix neuf (99) espèces qui se rattachent à 74 genres et 32 familles ont été recensées.
Une analyse floristique est effectuée à travers le calcul de plusieurs paramètres écologiques (fréquence centésimale, occurrence, richesse spécifique, taux de recouvrement, indice de similitude).
Cette analyse a montré une grande similitude entre la pineraie et la chênaie en matière de richesse floristique et de conditions écologiques.
Contrairement à la thuriféraie qui apparaît relativement plus pauvre.
Les résultats obtenus ont révélé l’existence de six (6) types biologiques dont les plus fréquents sont les thérophytes (27%) suivis des hémicryptophytes (26%), les chamaephytes (20%).