L’irréel dans quelques oeuvres de GEORGES HENEIN

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Écrivain francophone égyptien, ami personnel d’André Breton, chef de file du mouvement surréaliste au Caire et dans le monde arabe, Georges Henein fut l’un des esprits les plus subversifs de l’Égypte pré-nassérienne.

En effet, le surréalisme lui a permis de se forger une conscience d’intellectuel marquée par le rejet du capitalisme, du colonialisme et des totalitarismes fascistes ou communistes ; il lui a ouvert la porte pour former un groupement d’artistes et de peintres égyptiens dénommé « Art et liberté » qui a répondu à l’appel d’André Breton pour un « art libre et indépendant » ; il a confirmé son écriture dans le refus des formes figées et la volonté de conserver un langage en liberté ; il lui a enfin inspiré une perception du monde que sont la quête des énigmes et l’irréalisme.

Sur ce, la présente thèse prend l’irréel comme fil conducteur dans quelques œuvres de Georges Henein.

Nous partons de la question préliminaire suivante : « Qu’est-ce que l’irréel heneinien ? » Et à partir de la réponse, nous étudions ses différents aspects dans notre corpus

Maître de conférences de littérature et de langue françaises à l'Université d'Ain Shams, Dina ZAATER a commencé sa carrière universitaire par une thèse de master intitulée "L’EXPRESSION DE LA MARGINALITÉ CHEZ ALBERT COSSERY DANS (LES HOMMES OUBLIÉS DE DIEU, LA MAISON DE LA MORT CERTAINE, MENDIANTS ET ORGUEILLEUX)".

Fiche technique