Le quinoa sous des...
Mourad Rezig
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Le blé dur (vs RAZEK vs KARIM) sous des conditions de déficit hydrique
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Efficiences de l’utilisation de l’eau et de la lumière
Les essais ont été conduits dans des parcelles expérimentales dans la région de Cherfech située dans la basse vallée de la Medjerda.
Elles visent la quantification et la valorisation des efficiences de l’utilisation de l’eau et de la lumière de deux variétés de blé dur (RAZEK et KARIM) sous des conditions de déficit hydrique.
Pour la première expérimentation (2015-2016), les résultats obtenus ont montré une diminution de la consommation en eau du traitement T3 (Pluvial.
De même, une réduction de l’efficience de l’utilisation de l’eau pendant la phase pré-anthèse (EUE Pré-anthèse) de l’ordre de 6,7 et de 24,9 % pour les deux traitements T2 (70% ETC) et T3 (Pluvial) respectivement et comparativement au traitement témoin T1 (100% ETC).
Pour la deuxième expérimentation (2016-2017), le déficit hydrique appliqué à la fin du cycle a engendré une réduction considérable de la matière sèche totale (MST) et de la consommation en eau (elle a diminué de 10.2 ; 21.8 et 51,1 % pour T2 (75% ETC), T3 (50% ETC) et T4 (pluvial) respectivement.
Dr.
Mourad Rezig, chercheur à l’Institut National de Recherches en Génie Rural, Eaux et forêts, spécialisé dans le domaine de détermination des besoins en eau des cultures, pilotage de l’irrigation en temps réel et l’utilisation efficiente de l’eau et de la lumière.
Fiche technique
- Auteur
- Mourad Rezig
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions universitaires européennes
- Pays
Tunisie
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Les essais ont été conduits dans des parcelles expérimentales dans la région de Cherfech située dans la basse vallée de la Medjerda.
Elles visent la quantification et la valorisation des efficiences de l’utilisation de l’eau et de la lumière de deux variétés de blé dur (RAZEK et KARIM) sous des conditions de déficit hydrique.
Pour la première expérimentation (2015-2016), les résultats obtenus ont montré une diminution de la consommation en eau du traitement T3 (Pluvial.
De même, une réduction de l’efficience de l’utilisation de l’eau pendant la phase pré-anthèse (EUE Pré-anthèse) de l’ordre de 6,7 et de 24,9 % pour les deux traitements T2 (70% ETC) et T3 (Pluvial) respectivement et comparativement au traitement témoin T1 (100% ETC).
Pour la deuxième expérimentation (2016-2017), le déficit hydrique appliqué à la fin du cycle a engendré une réduction considérable de la matière sèche totale (MST) et de la consommation en eau (elle a diminué de 10.2 ; 21.8 et 51,1 % pour T2 (75% ETC), T3 (50% ETC) et T4 (pluvial) respectivement.