La septoriose du blé
Marwa HASSINE
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La septoriose du blé
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Cycle épidémiologique et moyens de lutte
Le champignon hémibiotrophe Zymoseptoria tritici (anciennement Septoria tritici; téléomorphe Mycosphaerella graminicola), agent causal de la maladie de la septoriose, est à ce jour le pathogène le plus fréquent et le plus nuisible dans le monde sur le blé dur (Triticumdurum) et le blé tendre (Triticum aestivum).
En effet, ce pathogène provoque des pertes de rendement dépassant 50% sous les conditions climatiques favorables.
De plus, l’émergence de nouveaux pathotypes plus adaptés aux fongicides et aux fluctuations environnementalesconstituent des contraintes majeures dans le contrôle de cette maladie.
Ceci est dû principalement à l’évolution épidémiologique et l’importance de la diversité génétique et de la structure des populations de ce pathogène au cours du cycle végétatif de la plante.
Cette interaction entre Z.
tritici et les deux cultures céréalières ont révélé l’importance de l’étude de son mode de reproduction aussi bien végétatif que sexué.
Face à cette situation, un intérêt particulier a été attribué à la recherche des méthodes de lutte alternatives respectueuses à l’environnement.
Après l’obtention de son doctorat en Sciences Agronomiques, Dr.
Marwa Hassine continue ses recherches sur l’effet des stress biotique et abiotique sur la qualité du blé dur dans son Laboratoire de Génétique et Amélioration des céréales à l'Institut National Agronomique de Tunisie où elle est un membre actif depuis 2013.
Fiche technique
- Auteur
- Marwa HASSINE
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions universitaires européennes
- Pays
Tunisie
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Cycle épidémiologique et moyens de lutte
Le champignon hémibiotrophe Zymoseptoria tritici (anciennement Septoria tritici; téléomorphe Mycosphaerella graminicola), agent causal de la maladie de la septoriose, est à ce jour le pathogène le plus fréquent et le plus nuisible dans le monde sur le blé dur (Triticumdurum) et le blé tendre (Triticum aestivum).
En effet, ce pathogène provoque des pertes de rendement dépassant 50% sous les conditions climatiques favorables.
De plus, l’émergence de nouveaux pathotypes plus adaptés aux fongicides et aux fluctuations environnementalesconstituent des contraintes majeures dans le contrôle de cette maladie.
Ceci est dû principalement à l’évolution épidémiologique et l’importance de la diversité génétique et de la structure des populations de ce pathogène au cours du cycle végétatif de la plante.
Cette interaction entre Z.
tritici et les deux cultures céréalières ont révélé l’importance de l’étude de son mode de reproduction aussi bien végétatif que sexué.
Face à cette situation, un intérêt particulier a été attribué à la recherche des méthodes de lutte alternatives respectueuses à l’environnement.