La condition politique de l'homme et la mondialisation
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Hannah Arendt et le monde global
Le processus de la mondialisation en cours contribue-t-il à rendre le monde plus humain? Le livre essaie de situer le débat au-delà de la confrontation avec les questions posées par l'unification du marché et la production des richesses.
Il considère la mondialisation comme un fait politique et situe la réflexion au niveau de la gestion de l'espace public où la pluralité et la diversité sont soulignées comme données fondamentales de la condition politique de l'homme.
La mise en lumière de cela est faite à partir de la notion de monde commun qui occupe une place éminente dans la pensée de Hannah Arendt.
La mondialisation pose dans ce sens la question de savoir comment vivre ensemble avec ceux qui sont différents de nous.
D'où la nécessité de l'humaniser pour la soustraire à la mainmise de l'économie.
L'auteur préconise une action politique qui permette de mettre en place une organisation mondiale soucieuse à la fois de l'unité de l'humanité et de la pluralité de ses formes et de ses expressions.
Une démarche qui prend à contrepieds toute idéologie qui renfermerait une communauté sur l'uniformité d'une seule race, d'une seule religion ou d'une seule culture.
Martin BAYAMBA KASONGA, est Prêtre de l''Archidiocèse de Kananga.Docteur en philosophie,études de Philosophie au Grand Séminaire de Mbujimayi, à l''Université Catholique du Congo (UCC)et à l''Institut Catholique de Toulouse.
Recteur du Grand Séminaire Philosophicum Christ-Roi de Kabwe (Kananga ) en République Démocratique du Congo.
Fiche technique
- Auteur
- MARTIN BAYAMBA KASONGA
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions universitaires européennes
- Pays
République démocratique du Congo
Hannah Arendt et le monde global
Le processus de la mondialisation en cours contribue-t-il à rendre le monde plus humain? Le livre essaie de situer le débat au-delà de la confrontation avec les questions posées par l'unification du marché et la production des richesses.
Il considère la mondialisation comme un fait politique et situe la réflexion au niveau de la gestion de l'espace public où la pluralité et la diversité sont soulignées comme données fondamentales de la condition politique de l'homme.
La mise en lumière de cela est faite à partir de la notion de monde commun qui occupe une place éminente dans la pensée de Hannah Arendt.
La mondialisation pose dans ce sens la question de savoir comment vivre ensemble avec ceux qui sont différents de nous.
D'où la nécessité de l'humaniser pour la soustraire à la mainmise de l'économie.
L'auteur préconise une action politique qui permette de mettre en place une organisation mondiale soucieuse à la fois de l'unité de l'humanité et de la pluralité de ses formes et de ses expressions.
Une démarche qui prend à contrepieds toute idéologie qui renfermerait une communauté sur l'uniformité d'une seule race, d'une seule religion ou d'une seule culture.