L'impératif de l'intangibilité de la vie humaine
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Essai de compréhension de la pensée D'Elio SGRECCIA
L’ouvrage s’adresse à un public disparate, mais avec une attention particulière aux professionnels et acteurs de santé.
Ces destinataires y trouvent des contenus indispensables à la compréhension et à l’action éthique dans leur pratique professionnelle en vue de les façonner en véritables acteurs compétents et responsables.
Le chapitre premier montre combien le réductionnisme mécaniste de la vie peut constituer un outrage au statut humain de l’embryon qui est pourtant dès la fécondation (formation du zygote) un individu autonome intangible de par sa vie et digne de droits.
Le second chapitre est axé sur les biotechnologies en mettant l’accent sur les techniques de procréation médicalement assistée et en montrant qu’elles constituent un virement dans l’exacte réification de l’homme.
Si elles constituent un avantage pour l’homme, elles sont aussi désavantageuses par leur aspect parfois déshumanisant.
Consacré à la fin de vie, le troisième chapitre s’appesantit surtout sur l’euthanasie en insistant sur son illicéité morale comme attentat à la vie de l’homme qui, en fin des comptes, est un être-pour-la-mort, un être fait pour la mort.
Né à Bukavu, le 28 novembre 1968, Docteur en Philosophie (morale), le Professeur Bagendabanga Macece Eloi est enseignant à l’Université Catholique de Bukavu, à l’Institut Supérieur des Techniques Médicales et à l’Université Officielle de Bukavu où il a rencontré Nzanzu Thierry.
Domaines de recherche: Éthique, bioéthique et philosophie.
Fiche technique
- Auteur
- Eloi Bagendabanga Macece
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions Croix du Salut
- Pays
République démocratique du Congo
Essai de compréhension de la pensée D'Elio SGRECCIA
L’ouvrage s’adresse à un public disparate, mais avec une attention particulière aux professionnels et acteurs de santé.
Ces destinataires y trouvent des contenus indispensables à la compréhension et à l’action éthique dans leur pratique professionnelle en vue de les façonner en véritables acteurs compétents et responsables.
Le chapitre premier montre combien le réductionnisme mécaniste de la vie peut constituer un outrage au statut humain de l’embryon qui est pourtant dès la fécondation (formation du zygote) un individu autonome intangible de par sa vie et digne de droits.
Le second chapitre est axé sur les biotechnologies en mettant l’accent sur les techniques de procréation médicalement assistée et en montrant qu’elles constituent un virement dans l’exacte réification de l’homme.
Si elles constituent un avantage pour l’homme, elles sont aussi désavantageuses par leur aspect parfois déshumanisant.
Consacré à la fin de vie, le troisième chapitre s’appesantit surtout sur l’euthanasie en insistant sur son illicéité morale comme attentat à la vie de l’homme qui, en fin des comptes, est un être-pour-la-mort, un être fait pour la mort.