Pourquoi l'ai-je épousée?
Christian Mugisho Kanywabahizi
23.90 €
5%
22.70 €
Destin Rouge
23,90 €
22,70 €
Économisez 5%
Roman
...
Sa vie ne valait presque plus rien.
Il semble avoir dit la vérité, quand il jurait devant Mélanie que sa vie sans lui n’est rien.
Il se sentait mort aussi.
Par le même couteau, comme ce fut le cas pour Clément et Christiane dans la partie précédente, se mit debout devant son lit, et sous une vie morte, il se l’enfonça dans le ventre.
Il tomba lentement, en train de souffrir, avec des yeux ouverts.
Il tomba enfin sur la tête du corps sans vie de Mélanie.
La scène me faisait penser à notre formation en cinéma lorsqu’on nous apprenait comment mourir avec le couteau.
Ce fut pour nous un bon matériel didactique…C’est peut – être ça le jour que fut le Seigneur, que Mélanie ne cessait de prôner.
Le seigneur, peut – il faire un tel jour? Nul n’échappe vraiment à son destin, mais, quel destin, rouge, qu’aucun homme ne peut souhaiter.
Auteur congolais de Goma, Christian M – KAN a fait ses études secondaires à l’Institut Mgr GUIDO à BUKAVU, en Commercial et Informatique.
Il poursuit ses études supérieures à l’ISC/Goma, en Gestion Informatique.
Il est aujourd’hui enseignant professeur du cours d’Informatique au CS MAMA SOPHIEHIMB, à l’institut Communautaire du Lac, ICL Goma.
Fiche technique
- Auteur
- Christian Mugisho Kanywabahizi
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions Muse
- Pays
République démocratique du Congo
Autres oeuvres de Christian Mugisho Kanywabahizi
Vers le Trône
Christian Mugisho Kanywabahizi
21.90 €
5%
20.80 €
30 autres produits dans la même catégorie :
Voir tout
Roman
...
Sa vie ne valait presque plus rien.
Il semble avoir dit la vérité, quand il jurait devant Mélanie que sa vie sans lui n’est rien.
Il se sentait mort aussi.
Par le même couteau, comme ce fut le cas pour Clément et Christiane dans la partie précédente, se mit debout devant son lit, et sous une vie morte, il se l’enfonça dans le ventre.
Il tomba lentement, en train de souffrir, avec des yeux ouverts.
Il tomba enfin sur la tête du corps sans vie de Mélanie.
La scène me faisait penser à notre formation en cinéma lorsqu’on nous apprenait comment mourir avec le couteau.
Ce fut pour nous un bon matériel didactique…C’est peut – être ça le jour que fut le Seigneur, que Mélanie ne cessait de prôner.
Le seigneur, peut – il faire un tel jour? Nul n’échappe vraiment à son destin, mais, quel destin, rouge, qu’aucun homme ne peut souhaiter.