Gestion des conflits fonciers dans le terroir ivoirien
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Cas des litiges fonciers entre autochtones et allochtones dans le Département de Sinfra
Cette étude vise à rechercher les facteurs explicatifs de l’échec de la gestion des conflits fonciers dans le département de Sinfra.
Elle s’appuie sur la théorie constructiviste qui unifie les théories actionnistes et multifactorielles.
600 personnes ont participé à l’enquête.
La recherche documentaire, l’observation, le questionnaire et les différents entretiens ont permis de répondre aux questionnements de cette recherche dont les données ont fait l’objet d’analyse qualitative et quantitative.
Les résultats révèlent qu’une double série de facteurs expliquent l’échec des mécanismes de gestion mis en évidence à Sinfra.
Ces facteurs sont à la fois endogènes (diversité des acteurs et corruption active dans la gestion, stigmatisation, discrimination foncière de minorités du jeu foncier, et contribution symbolique des cultivateurs à leur propre assujettissement foncier) et exogènes aux acteurs ruraux (vide juridique en matière de gestion, pesanteurs culturelles et influence d’acteurs externes au théâtre foncier local).Devant ces facteurs évoqués, l’étude a fait des suggestions simultanément à l’Etat, aux partenaires du développement rural et aux peuples sédentarisés.
KANA JEAN NOEL PACOME - né le 12-11-1986 à Bendéfla S/P de (SINFRA), Côte D'Ivoire.2014 – 2019 : DOCTORAT EN CRIMINOLOGIE.OPTION : SOCIOLOGIE CRIMINELLE A L’UNIVERSITE FHB D’ABIDJAN ; 2012 – 2015 : INGENIEUR EN MANAGEMENT DES RESSOURCES HUMAINES ICS COCODY; Fiancé, un enfant
Fiche technique
- Auteur
- Jean Noel Pacôme Kana
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions universitaires européennes
- Pages
- 372
- Pays
Côte d'Ivoire
Cas des litiges fonciers entre autochtones et allochtones dans le Département de Sinfra
Cette étude vise à rechercher les facteurs explicatifs de l’échec de la gestion des conflits fonciers dans le département de Sinfra.
Elle s’appuie sur la théorie constructiviste qui unifie les théories actionnistes et multifactorielles.
600 personnes ont participé à l’enquête.
La recherche documentaire, l’observation, le questionnaire et les différents entretiens ont permis de répondre aux questionnements de cette recherche dont les données ont fait l’objet d’analyse qualitative et quantitative.
Les résultats révèlent qu’une double série de facteurs expliquent l’échec des mécanismes de gestion mis en évidence à Sinfra.
Ces facteurs sont à la fois endogènes (diversité des acteurs et corruption active dans la gestion, stigmatisation, discrimination foncière de minorités du jeu foncier, et contribution symbolique des cultivateurs à leur propre assujettissement foncier) et exogènes aux acteurs ruraux (vide juridique en matière de gestion, pesanteurs culturelles et influence d’acteurs externes au théâtre foncier local).Devant ces facteurs évoqués, l’étude a fait des suggestions simultanément à l’Etat, aux partenaires du développement rural et aux peuples sédentarisés.