Réseau hydrographique dans une zone tropicale

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Quels facteurs d'organisation dans la région de Gbêkê au centre de la Côte d'Ivoire?

La Côte d’Ivoire, comme les autres pays, emploie l’eau provenant des eaux continentales pour une partie de son Agriculture, ses besoins domestiques et industriels (CECCHI, 2006).

Mais, la disponibilité de cette ressource en quantité dans ce pays inquiète plus d’un aujourd’hui dans sa partie Nord (FAO, 2005).

Elle enregistre une baisse pluviométrique depuis près de quatre décennies (BROU et al., 2005).

Cette baisse est d’autant préoccupante du fait que la pluie participe au développement de diverses activités économiques dans nos régions (TOURE, 1992).

Aussi, la pluie est la principale source du renouvellement des eaux continentales (KONATE, 1996).

L’objet de cette recherche est d’étudier le potentiel hydrographique pour analyser les facteurs d’organisation du réseau hydrographique afin de pallier aux carences hydrique que connaît cette région.

Pour y parvenir les unités d’observation comme les cours d’eau, les éléments de relief et les sols, ont permis d’étudier les facteurs physiques qui contribuent à l’organisation de ce réseau.

A l’issu de cette étude, l’organisation d’un réseau hydrographique est le reflet du type de milieu physique qu’il draine.

KOUASSI Yao Dieudonné est né le 10 Juin 1987 à Laboua/Issia (Côte d'Ivoire).

Il entreprend actuellement à l'Université Alassane Ouattara, dans sa deuxième année, une thèse de Doctorat sur le thème :Variabilité hydroclimatique et gestion des eaux de surface dans le bassin versant du Haut Bandama (Nord de la Côte d'Ivoire).

Fiche technique