Hydrogéologie du Sud-ouest de la Côte d'Ivoire: région de San Pedro
76,90 €
73,05 €
Économisez 5%
La région de San Pedro est située au Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire.
Les eaux de surface y sont plus exploitées que les eaux souterraines dont les réservoirs sont peu et mal connus.
L’objectif de cette étude est de contribuer à une meilleure connaissance hydrogéologique de cette région à forte potentialité agricole et industrielle.
La base des données est formée d’eau de forages, rapports de foration, relevés météorologiques, hydrologiques et des images de satellite.
Les approches hydroclimatiques, hydrogéochimiques, hydrodynamiques et géostatistiques ont constitué la méthodologie mise en oeuvre.
La recharge est evaluée entre 701 et 1 008 m3/ha/an.
Majoritairement bicarbonatées calciques et magnésiennes, les eaux sont bonnes pour la consommation et l’irrigation.
Le principal facteur de minéralisation est le temps de séjour.
Les fractures sont principalement orientées N-S et ESE-WNW.
Les longueurs de fractures sont distribuées suivant la loi de puissance.
Les valeurs de transmissivité, débit spécifique et perméabilité illustrent l’hétérogénéité du milieu.
La productivité optimale est atteinte entre 30-40 m de profondeur.
Les réservoirs productifs sont les granodiorites et les migmatites.
Titulaire d'une thèse unique de Doctorat en Sciences de la Terre spécialité HYDROGEOLOGIE, obtenu à l'Université Félix Houphouet-Boigny de Cocody-Abidjan en Côte d'Ivoire; l'auteur est aussi co-auteur de plusieurs articles scientifiques écrits en français et en anglais sur l'hydrogéologie quantitative ou qualitative associée à la géomatique.
Fiche technique
- Auteur
- Omer Zephir De Lasme
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions universitaires européennes
- Pays
Côte d'Ivoire
La région de San Pedro est située au Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire.
Les eaux de surface y sont plus exploitées que les eaux souterraines dont les réservoirs sont peu et mal connus.
L’objectif de cette étude est de contribuer à une meilleure connaissance hydrogéologique de cette région à forte potentialité agricole et industrielle.
La base des données est formée d’eau de forages, rapports de foration, relevés météorologiques, hydrologiques et des images de satellite.
Les approches hydroclimatiques, hydrogéochimiques, hydrodynamiques et géostatistiques ont constitué la méthodologie mise en oeuvre.
La recharge est evaluée entre 701 et 1 008 m3/ha/an.
Majoritairement bicarbonatées calciques et magnésiennes, les eaux sont bonnes pour la consommation et l’irrigation.
Le principal facteur de minéralisation est le temps de séjour.
Les fractures sont principalement orientées N-S et ESE-WNW.
Les longueurs de fractures sont distribuées suivant la loi de puissance.
Les valeurs de transmissivité, débit spécifique et perméabilité illustrent l’hétérogénéité du milieu.
La productivité optimale est atteinte entre 30-40 m de profondeur.
Les réservoirs productifs sont les granodiorites et les migmatites.