Un examen du cadre juridique de la protection des savoirs traditionnels en vertu de la loi nigériane sur la propriété intellectu

C'est un truisme de dire que le plus grand héritage d'une nation reste la créativité de ses citoyens.

Par conséquent, l'une des principales fonctions du droit est de protéger l'ingéniosité, l'ingéniosité et l'innovation des citoyens.

C'est dans cette optique que Lord Belgore J., dans l'affaire Oladipo Yemitan v.

The Daily Times Nigeria Ltd, a affirmé que "le droit d'un homme à ce qu'il a fait à l'origine est un droit incorporel et doit être protégé".

Cette recherche examine le contexte juridique de la protection des connaissances traditionnelles dans le cadre du régime nigérian de propriété intellectuelle, parmi d'autres traités et accords internationaux qui soutiennent leur protection ferme.

Elle a examiné les problèmes rencontrés dans l'actualisation de sa protection dans le cadre des régimes de propriété intellectuelle actuels, qui tournent autour de la non-reconnaissance des contributions des communautés autochtones, des limites des mécanismes de défense, de la faiblesse de la structure et du système de propriété intellectuelle, et d'un grand nombre d'autres problèmes divers.

Cependant, si les créations et les droits des peuples autochtones doivent être préservés de l'appropriation illicite et du biopiratage, le gouvernement doit fournir des moyens d'application adéquats, des lois de PI standard, une formation adéquate pour le personnel chargé de l'application de la loi, sensibiliser fréquemment le public aux dangers de l'appropriation illicite, développer une protection sui generis pour les savoirs traditionnels et leur documentation.pour les savoirs traditionnels et les initiatives de documentation des savoirs traditionnels afin de répondre aux critères de protection de la propriété intellectuelle.