Analyse sémiotique des peintures murales
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Cas de la Maison d'arrêt et de correction de Ouahigouya
Les peintures murales, nées d’un besoin de l’homme, la communication, sont une forme d’expression artistique.
Un sous-ensemble des graffitis, les peintures murales, sont des tableaux directement peints sur le mur d’un édifice généralement par des artistes plasticiens.
Notre étude est une lecture sémiotique des peintures murales de la Maison d’Arrêt et de Correction de Ouahigouya.
Il s’agira d’un questionnement des signes qui constituent les tableaux de notre corpus à la lumière de la sémiotique pour parvenir à une mise à nue de l’éloquence des images.
Pour ce faire, d’une part, à la lumière de la syntaxe visuelle du Groupe µ, nous nous intéresserons au plan plastique aux formes, aux couleurs et aux textures, puis sous l’angle iconique, nous nous focaliserons sur la triple relation des éléments que sont : le signifiant iconique, le type et le référent.
D’autre part, à la lumière de la théorie du récit de Greimas et Courtés, nous nous évoquerons la narrativité qui découle du récit des peintures murale en invoquant la syntaxe narrative, le schéma actanciel et éventuellement le carré sémiotique.
Léonard NABALOUM est professeur des lycées et collèges depuis novembre 2011, il fut certifié en 2018.
Il est titulaire du CAPES, d’une maîtrise en arts du spectacle, d’un DEA en sciences du langage et d’un doctorat en sciences du langage, option sémiotique.
Il est auteur de plusieurs articles publiés dans plusieurs revues internationales.
Fiche technique
- Auteur
- Léonard NABALOUM
- Langue
- Français
- Année
- 2023
- Pages
- 96
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