AMOUR SANS LOI NI FOI
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Les méandres et la destinée de la vie
Un nœud venait serrer sa gorge et le bas de son ventre par ce film qui se défilait devant ses yeux écarlates.
Et par un coup de génie, la mer devint tout or et ocre, comme s’il avait peur de se confiner toute seule, sans lumière pour lui tenir compagnie.Le soleil se couchait lentement, embrassant le ciel d’une lueur dorée qui faisait vibrer les nuages dans une douce symphonie de couleur jaune et pastel.
Les teintes de rose, d’orange et de pourpre s’associaient délicatement pour peindre une fresque à la fois époustouflante et éphémère.L’océan reflétait les nuances du ciel, les vagues s’étiraient comme des doigts pour toucher la falaise de calcaire jaune et blanc, composant une musique féerique ou une mélodie jouait par des milliers de musiciens.
Les goélands volaient, et prenaient des allures de silhouettes sombres et grises, dansant avec les apparences du soleil couchant derrière la ligne imaginaire à l’horizon.
Fonctionnaire au ministère de l'éducation nationale de l'enseignement préscolaire et du sport, c'est mon premier roman en langue française.
Fiche technique
- Auteur
- Abdelhak Souhail
- Langue
- Français
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Les méandres et la destinée de la vie
Un nœud venait serrer sa gorge et le bas de son ventre par ce film qui se défilait devant ses yeux écarlates.
Et par un coup de génie, la mer devint tout or et ocre, comme s’il avait peur de se confiner toute seule, sans lumière pour lui tenir compagnie.Le soleil se couchait lentement, embrassant le ciel d’une lueur dorée qui faisait vibrer les nuages dans une douce symphonie de couleur jaune et pastel.
Les teintes de rose, d’orange et de pourpre s’associaient délicatement pour peindre une fresque à la fois époustouflante et éphémère.L’océan reflétait les nuances du ciel, les vagues s’étiraient comme des doigts pour toucher la falaise de calcaire jaune et blanc, composant une musique féerique ou une mélodie jouait par des milliers de musiciens.
Les goélands volaient, et prenaient des allures de silhouettes sombres et grises, dansant avec les apparences du soleil couchant derrière la ligne imaginaire à l’horizon.