Félicité Niyitegeka
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Une lumière dans la nuit rwandaise AGIR FACE A L’INACCEPTABLE
Le 31 janvier 2011, une émission radio diffusée sur les antennes de Radio-Rwanda suscite profondément l’intérêt de Jean d’Amour Dusengumuremyi pour Félicité Niyitegeka.
Il n’en fallut pas plus pour le pousser à rassembler des témoignages poignants sur cette grande Rwandaise aujourd’hui reconnue comme héroïne nationale pour avoir, au moment tragique du génocide perpétré contre les Tutsis au Rwanda en 1994, poussé sa compassion jusqu’au don de sa vie.
Elle a refusé d’être séparée des plus petits du moment, les Tutsis pourchassés et exterminés par les extrémistes hutus.
Elle a tenté de sauver tous ceux qui sont venus se réfugier chez elle et, lorsqu’elle n’y a pas réussi, elle a décidé de les accompagner jusqu’au bout de leur voyage.
Les témoignages rassemblés par Jean d’Amour montrent que sa grande bonté s’était déjà signalée tout au long de sa vie.
Jean d’Amour Dusengumuremyi est prêtre et écrivain.
En plus de sa mission primordiale, il se sent très concerné par le devoir de mémoire.
Il milite pour la reconnaissance de l’action des personnes qui, pendant le genocide contre les Tutsi au Rwanda, se sont démarquées, certaines étant allées jusqu’à donner leurs vies pour en sauver d’autres.
Fiche technique
- Auteur
- Jean d'Amour Dusengumuremyi
- Langue
- Français
- Pages
- 296
- Pays
Rwanda
Une lumière dans la nuit rwandaise AGIR FACE A L’INACCEPTABLE
Le 31 janvier 2011, une émission radio diffusée sur les antennes de Radio-Rwanda suscite profondément l’intérêt de Jean d’Amour Dusengumuremyi pour Félicité Niyitegeka.
Il n’en fallut pas plus pour le pousser à rassembler des témoignages poignants sur cette grande Rwandaise aujourd’hui reconnue comme héroïne nationale pour avoir, au moment tragique du génocide perpétré contre les Tutsis au Rwanda en 1994, poussé sa compassion jusqu’au don de sa vie.
Elle a refusé d’être séparée des plus petits du moment, les Tutsis pourchassés et exterminés par les extrémistes hutus.
Elle a tenté de sauver tous ceux qui sont venus se réfugier chez elle et, lorsqu’elle n’y a pas réussi, elle a décidé de les accompagner jusqu’au bout de leur voyage.
Les témoignages rassemblés par Jean d’Amour montrent que sa grande bonté s’était déjà signalée tout au long de sa vie.