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La participation de la société civile à la protection du droit
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à un environnement sain
La prise en compte du droit à un environnement sain s'est développée de façon graduelle et de manière différenciée selon les époques, les régions et les cultures humaines.
En juin 1992, lors du sommet de la Terre de Rio de Janeiro, l'environnement est défini comme un bien commun et un bien public.
En dehors des sujets du droit international que sont l’État et les organisations internationales, la société civile, à travers les organisations non gouvernementales et les défenseurs des droits de l’homme, joue de nos jours le rôle d’incitateur des Etats à élaborer ou réviser les textes internationaux relatifs à la protection de l’environnement.
La société civile a contribué grandement à la protection du droit à un environnement sain à travers sa participation.
En effet, malgré les diverses actions entreprises et mises en œuvre par cette dernière, force est de constater que le résultat n’est pas tout à fait celui escompté.
La faiblesse de la portée des actions de la société civile appelle donc à rechercher des approches de solutions pour une meilleure participation.
BADJALIWA Kitimbo Abalo, est un juriste publiciste, Spécialiste des Droits de l’Homme, de nationalité Togolaise, né le 31 décembre 1983 à Défalé Amondé, engagé depuis 2011, dans la défense des droits humains.
Il est titulaire d’un Master 2 en Droit international et Comparé de l’Environnement (l’université de Limoges -France).
Fiche technique
- Auteur
- Kitimbo Abalo BADJALIWA
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions universitaires européennes
- Pays
Togo
à un environnement sain
La prise en compte du droit à un environnement sain s'est développée de façon graduelle et de manière différenciée selon les époques, les régions et les cultures humaines.
En juin 1992, lors du sommet de la Terre de Rio de Janeiro, l'environnement est défini comme un bien commun et un bien public.
En dehors des sujets du droit international que sont l’État et les organisations internationales, la société civile, à travers les organisations non gouvernementales et les défenseurs des droits de l’homme, joue de nos jours le rôle d’incitateur des Etats à élaborer ou réviser les textes internationaux relatifs à la protection de l’environnement.
La société civile a contribué grandement à la protection du droit à un environnement sain à travers sa participation.
En effet, malgré les diverses actions entreprises et mises en œuvre par cette dernière, force est de constater que le résultat n’est pas tout à fait celui escompté.
La faiblesse de la portée des actions de la société civile appelle donc à rechercher des approches de solutions pour une meilleure participation.