Après une analyse approfondie des relations professionnelles en Côte d'ivoire, l'auteur propose que les salariés, regroupés dans de véritables organisations syndicales, maîtrisent les effets de la mondialisation, stade suprême du capitalisme.
Face à des enjeux importants, des employeurs puissants, un Etat quasi inexistant, les travailleurs sont relégués au second plan au profit du capital.
Le syndicalisme se résume en un rapport de force inégalitaire qu'il conviendrait de normaliser et d'humaniser.
Après une analyse approfondie des relations professionnelles en Côte d'ivoire, l'auteur propose que les salariés, regroupés dans de véritables organisations syndicales, maîtrisent les effets de la mondialisation, stade suprême du capitalisme.
Face à des enjeux importants, des employeurs puissants, un Etat quasi inexistant, les travailleurs sont relégués au second plan au profit du capital.
Le syndicalisme se résume en un rapport de force inégalitaire qu'il conviendrait de normaliser et d'humaniser.
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