État africain, violence et théorie critique
20,50 €
19,47 €
Économisez 5%
Cet ouvrage interroge à nouveaux frais la diffi cile question africaine du développement.
Abou Karamoko y entreprend un double procès, celui des « princes africains » à côté de l'esthétique nègre qui a besoin d'une nouvelle vitalité.
Au-delà du souci affi ché d'une approche plus horizontale que verticale des contributions intellectuelles, l'auteur offre la possibilité de concevoir l'art comme une modalité forte de transformation sociale alternative à la classe des élites.
Abou Karamoko y entreprend un double procès, celui des « princes africains » à côté de l'esthétique nègre qui a besoin d'une nouvelle vitalité.
Au-delà du souci affi ché d'une approche plus horizontale que verticale des contributions intellectuelles, l'auteur offre la possibilité de concevoir l'art comme une modalité forte de transformation sociale alternative à la classe des élites.
Président de l'Université Félix Houphouët Boigny (2016-2021), Abou KARAMOKO, né en 1953 à Mankono (Côte d'Ivoire), est titulaire de deux thèses et auteur de plusieurs publications.
Fiche technique
- Auteur
- Abou Karamoko
- Éditeur
- L'Harmattan
30 autres produits dans la même catégorie :
Voir tout
Henri Bergson et l'idée de dépassement de la condition humaine
Ebénézer Njoh Mouelle
32,00 €
-5%
30,40 €
Identités nationales, postcoloniales ou contemporaines en Afrique
Yves-Abel Nganguem Feze
27,00 €
-5%
25,65 €
Traité de l'art de philosopher avec précision et sans fioritures
Antoine Guillaume Amo
26,00 €
-5%
24,70 €
Cet ouvrage interroge à nouveaux frais la diffi cile question africaine du développement.
Abou Karamoko y entreprend un double procès, celui des « princes africains » à côté de l'esthétique nègre qui a besoin d'une nouvelle vitalité.
Au-delà du souci affi ché d'une approche plus horizontale que verticale des contributions intellectuelles, l'auteur offre la possibilité de concevoir l'art comme une modalité forte de transformation sociale alternative à la classe des élites.
Abou Karamoko y entreprend un double procès, celui des « princes africains » à côté de l'esthétique nègre qui a besoin d'une nouvelle vitalité.
Au-delà du souci affi ché d'une approche plus horizontale que verticale des contributions intellectuelles, l'auteur offre la possibilité de concevoir l'art comme une modalité forte de transformation sociale alternative à la classe des élites.