La légende kabyle du bélier...
Mouloud Behiche
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Harkis et Pieds-Noirs face aux préjugés
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La première partie de cet ouvrage raconte l'histoire de Mouloud, un Harki supplétif, qui sortit « Major », en Seine-Maritime, du concours de cadre national des préfectures, organisé en 1972.
Mais deux roitelets préfectoraux locaux, par préjugé discriminatoire, broyèrent sa carrière dès le départ.
Il aura suffi qu'un Franco-Arabe, déjà employé, commette un acte ignoble au sein du Service, pour que le chef de la Division et son DRH décident, par « amalgame », que cet « Arabe-nouveau », ne devait pas faire partie du personnel rouennais.
La deuxième partie relate, avec émotion, humour sans humeur, nostalgie et poésie, le « Mal de vivre », des Harkis, Israélites et Pieds-Noirs, depuis leur installation en France.
Mais deux roitelets préfectoraux locaux, par préjugé discriminatoire, broyèrent sa carrière dès le départ.
Il aura suffi qu'un Franco-Arabe, déjà employé, commette un acte ignoble au sein du Service, pour que le chef de la Division et son DRH décident, par « amalgame », que cet « Arabe-nouveau », ne devait pas faire partie du personnel rouennais.
La deuxième partie relate, avec émotion, humour sans humeur, nostalgie et poésie, le « Mal de vivre », des Harkis, Israélites et Pieds-Noirs, depuis leur installation en France.
Mouloud BEHICHE est kabyle des Bibans, né en 1939 à Constantine.
Lors de la guerre d'Algérie, il est recruté comme employé de bureau à la S.A.S.
du BARDO, Constantine.
Il servit d'interprète en langue arabe et kabyle aux forces militaires françaises.
Il exerça la fonction de chef de quartier pour les Bérets Noirs et la Gendarmerie Mobile.
Mais en Seine-Maritime, sur le plan caritatif, judiciaire, social et syndical, il rendit beaucoup de services.
Sauf que la Politique Française de l'époque lui refusa toute participation sur les affiches électorales, à cause de son prénom à l'étrange consonance : « Mouloud » !
Lors de la guerre d'Algérie, il est recruté comme employé de bureau à la S.A.S.
du BARDO, Constantine.
Il servit d'interprète en langue arabe et kabyle aux forces militaires françaises.
Il exerça la fonction de chef de quartier pour les Bérets Noirs et la Gendarmerie Mobile.
Mais en Seine-Maritime, sur le plan caritatif, judiciaire, social et syndical, il rendit beaucoup de services.
Sauf que la Politique Française de l'époque lui refusa toute participation sur les affiches électorales, à cause de son prénom à l'étrange consonance : « Mouloud » !
Fiche technique
- Auteur
- Mouloud Behiche
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pages
- 214
- Pays
Algérie
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Il aura suffi qu'un Franco-Arabe, déjà employé, commette un acte ignoble au sein du Service, pour que le chef de la Division et son DRH décident, par « amalgame », que cet « Arabe-nouveau », ne devait pas faire partie du personnel rouennais.
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