L'OUA... entre nous
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Tant de cris de triomphe, de joies enfantines m'ont donné à réfléchir, à ces propos d'André Gide : « Je me méfie toujours du plus grand nombre, aussi bien lorsqu'il applaudit que lorsqu'il siffle ».
Dans cette euphorie ambiante, quelques voix, tel le Sénégalais Elimane Fall, ont émis des regrets : « Vae victis ! Malheur aux vaincus ! Nous qui avons grandi avec l'OUA, nous nous sentons quelque peu, sinon orphelins, du moins sevrés ».
Témoin au quotidien et aux toutes premières loges, le professeur Albert K.
Ekué raconte l'OUA en se racontant lui même : sa carrière de haut fonctionnaire dans l'Institution, ses joies et ses peines, les personnalités croisées, la machinerie paperassière, la ronde des secrétaires généraux...
Dans cette euphorie ambiante, quelques voix, tel le Sénégalais Elimane Fall, ont émis des regrets : « Vae victis ! Malheur aux vaincus ! Nous qui avons grandi avec l'OUA, nous nous sentons quelque peu, sinon orphelins, du moins sevrés ».
Témoin au quotidien et aux toutes premières loges, le professeur Albert K.
Ekué raconte l'OUA en se racontant lui même : sa carrière de haut fonctionnaire dans l'Institution, ses joies et ses peines, les personnalités croisées, la machinerie paperassière, la ronde des secrétaires généraux...
Albert Kangni Ekue est Béninois.
Il a fait ses études secondaires à Dakar et a fréquenté les universités de Toulouse et de Bordeaux III où il obtient en 1975 le grade de docteur ès lettres.
Sa carrière d'enseignant commence en 1959 au Lycée Classique de Mazamet.
En 1962, il est recruté à l'Union Africaine et Malgache.
C'est le début d'un long cheminement qui allait le conduire successivement à l'Organisation Commune Africaine et Malgache de 1964 à 1973 ; à l'École Internationale de la Francophonie à Bordeaux de 1973 à 1976.
En 1977, il reprend ses fonctions à l'Université Nationale du Bénin, avant d'être détaché à l'Organisation de l'Unité Africaine à Addis Abeba.
Admis à la retraite en 1996, il regagne le Bénin où il s'occupe désormais du Centre Panafricain de Prospective Sociale.
Il a fait ses études secondaires à Dakar et a fréquenté les universités de Toulouse et de Bordeaux III où il obtient en 1975 le grade de docteur ès lettres.
Sa carrière d'enseignant commence en 1959 au Lycée Classique de Mazamet.
En 1962, il est recruté à l'Union Africaine et Malgache.
C'est le début d'un long cheminement qui allait le conduire successivement à l'Organisation Commune Africaine et Malgache de 1964 à 1973 ; à l'École Internationale de la Francophonie à Bordeaux de 1973 à 1976.
En 1977, il reprend ses fonctions à l'Université Nationale du Bénin, avant d'être détaché à l'Organisation de l'Unité Africaine à Addis Abeba.
Admis à la retraite en 1996, il regagne le Bénin où il s'occupe désormais du Centre Panafricain de Prospective Sociale.
Fiche technique
- Auteur
- Albert Kangni Ekue
- Éditeur
- L'Harmattan
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Tant de cris de triomphe, de joies enfantines m'ont donné à réfléchir, à ces propos d'André Gide : « Je me méfie toujours du plus grand nombre, aussi bien lorsqu'il applaudit que lorsqu'il siffle ».
Dans cette euphorie ambiante, quelques voix, tel le Sénégalais Elimane Fall, ont émis des regrets : « Vae victis ! Malheur aux vaincus ! Nous qui avons grandi avec l'OUA, nous nous sentons quelque peu, sinon orphelins, du moins sevrés ».
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Ekué raconte l'OUA en se racontant lui même : sa carrière de haut fonctionnaire dans l'Institution, ses joies et ses peines, les personnalités croisées, la machinerie paperassière, la ronde des secrétaires généraux...
Dans cette euphorie ambiante, quelques voix, tel le Sénégalais Elimane Fall, ont émis des regrets : « Vae victis ! Malheur aux vaincus ! Nous qui avons grandi avec l'OUA, nous nous sentons quelque peu, sinon orphelins, du moins sevrés ».
Témoin au quotidien et aux toutes premières loges, le professeur Albert K.
Ekué raconte l'OUA en se racontant lui même : sa carrière de haut fonctionnaire dans l'Institution, ses joies et ses peines, les personnalités croisées, la machinerie paperassière, la ronde des secrétaires généraux...