- Nouveau
Gabon, terre de prédation
25,00 €
23,75 €
Économisez 5%
Lire ce livre nous aide à comprendre en partie le système de prédation en place au Gabon.
Le résultat de cette prédation, dont humaine est que, par exemple, le Gabon qui comptait 1,9 million d’habitants en 1914, dans les limites de ce territoire à cette date, n’en compte plus que moins de 300.000 à la fin de la deuxième Guerre Mondiale en 1945 et 400.000 en 1960, année de l’Indépendance Aujourd’hui, ses forêts et terres sont en proie à la prédation que l’auteur s’emploie à démonter tout au long de son travail annoté, légendé et référencé.
Les nationaux gabonais sont par exemple confinés et réduits à des superficies de 5 km de rayon autour de leurs villages pour leurs activités agricoles et de chasse traditionnelle, ce qui les a contraints à se regrouper en associations villageoises sous le timbre forêts communautaires.
Paul MALEKOU est né le 17 novembre 1938 à Fougamou, Territoire du Gabon (AEF).
Il a rejoint la France en 1959 pour poursuivre ses études de Droit et sciences politiques à Lille et à paris ainsi que sa formation administrative à l’IHEOM (Ex ENFOM) dont il sort major de sa promotion (1963). Rentré au Gabon, il sert dans différents gouvernements successifs des présidents Léon Mba et Omar Bongo de 1964 à 1974, puis de 1984 à 1987. Il sera le premier africain appelé à la Direction Générale de l’ASECNA (1975-1984). Il finit sa carrière publique aux fonctions de conseiller à la cour constitutionnelle de la République Gabonaise de (1992-2005).
Fiche technique
- Auteur
- Paul Malékou
- Éditeur
- La Doxa Editions
- Année
- 2024
- Pages
- 274
- Pays
Gabon
30 autres produits dans la même catégorie :
Voir tout
Lire ce livre nous aide à comprendre en partie le système de prédation en place au Gabon.
Le résultat de cette prédation, dont humaine est que, par exemple, le Gabon qui comptait 1,9 million d’habitants en 1914, dans les limites de ce territoire à cette date, n’en compte plus que moins de 300.000 à la fin de la deuxième Guerre Mondiale en 1945 et 400.000 en 1960, année de l’Indépendance Aujourd’hui, ses forêts et terres sont en proie à la prédation que l’auteur s’emploie à démonter tout au long de son travail annoté, légendé et référencé.
Les nationaux gabonais sont par exemple confinés et réduits à des superficies de 5 km de rayon autour de leurs villages pour leurs activités agricoles et de chasse traditionnelle, ce qui les a contraints à se regrouper en associations villageoises sous le timbre forêts communautaires.