La thèse que défend l'auteur est que les crises à répétition que connaît la Côte d'Ivoire depuis la mort d'Houphouët-Boigny en 1993 et qui ont abouti à la guerre en 2002 ne peuvent pas s'expliquer uniquement par la volonté d'une France décidée à ne perdre aucun privilège au profit de nouveaux partenaires économiques de la Côte d'ivoire.
Les vraies raisons sont, pour ainsi dire, endogènes : incohérence politique et refus manifeste des dirigeants successifs à rassembler et à travailler à la coexistence des populations.
La thèse que défend l'auteur est que les crises à répétition que connaît la Côte d'Ivoire depuis la mort d'Houphouët-Boigny en 1993 et qui ont abouti à la guerre en 2002 ne peuvent pas s'expliquer uniquement par la volonté d'une France décidée à ne perdre aucun privilège au profit de nouveaux partenaires économiques de la Côte d'ivoire.
Les vraies raisons sont, pour ainsi dire, endogènes : incohérence politique et refus manifeste des dirigeants successifs à rassembler et à travailler à la coexistence des populations.
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