« À la fin de son roman, Seydi Sow fait dire au narrateur, sur qui Cendeela Camdaga exerce une véritable fascination : "Mais j’imagine Nethio heureux.Le musicien qu’il est a rencontré ses fans.Pourrai-je avoir le même bonheur ? Vais-je à mon tour rencontrer mes lecteurs ?" Ce parallèle entre le musicien et le narrateur est du plus heureux effet car l’écrivain n’ignore pas que son oeuvre a besoin d’une conscience pour s’accomplir.À l’arrière-plan des mots du narrateur, se trouve esquissée la référence à une esthétique de la réception.» (Extrait de la préface)
« À la fin de son roman, Seydi Sow fait dire au narrateur, sur qui Cendeela Camdaga exerce une véritable fascination : "Mais j’imagine Nethio heureux.Le musicien qu’il est a rencontré ses fans.Pourrai-je avoir le même bonheur ? Vais-je à mon tour rencontrer mes lecteurs ?" Ce parallèle entre le musicien et le narrateur est du plus heureux effet car l’écrivain n’ignore pas que son oeuvre a besoin d’une conscience pour s’accomplir.À l’arrière-plan des mots du narrateur, se trouve esquissée la référence à une esthétique de la réception.» (Extrait de la préface)
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