Depuis les frontières marocaines avec l'Algérie jusqu'à Tanger, en passant par Nador, Berkane et Alhoceima, de jeunes auteurs écrivent en tarifit, langue amazighe.
Cet essai découvre, dans les détails, la littérature rifaine dans ses deux grandes formes orale et écrite, depuis les premiers poèmes jusqu'à nos jours.
On y trouve l'analyse de vieux distiques, du poème épique « Ddhar n Ubarran » et d'une centaine d'oeuvres publiées.
L'étude entend également avancer des questions autour de cette pratique minorée : la littérature rifaine n'est-elle qu'une sous-littérature amazighe ? Quelles sont ses spécificités ? Quels genres offre-t-elle aux lecteurs ? Quelles catégories apporte-t-elle en plus à l'amazighité commune ? Enfin, peut-elle avoir une place valable dans les lettres marocaines et maghrébines ?
Hassan Banhakeia, enseignant-chercheur à la Faculté pluridisciplinaire de Nador, est auteur de nombreux essais sur la culture, la linguistique et la littérature.
Depuis les frontières marocaines avec l'Algérie jusqu'à Tanger, en passant par Nador, Berkane et Alhoceima, de jeunes auteurs écrivent en tarifit, langue amazighe.
Cet essai découvre, dans les détails, la littérature rifaine dans ses deux grandes formes orale et écrite, depuis les premiers poèmes jusqu'à nos jours.
On y trouve l'analyse de vieux distiques, du poème épique « Ddhar n Ubarran » et d'une centaine d'oeuvres publiées.
L'étude entend également avancer des questions autour de cette pratique minorée : la littérature rifaine n'est-elle qu'une sous-littérature amazighe ? Quelles sont ses spécificités ? Quels genres offre-t-elle aux lecteurs ? Quelles catégories apporte-t-elle en plus à l'amazighité commune ? Enfin, peut-elle avoir une place valable dans les lettres marocaines et maghrébines ?
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