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Le diagnostic de certitude des infections génitales hautes nécessite des moyens invasifs.
Mais, l’association des données de l’interrogatoire, de l’examen clinique et des examens complémentaires non invasifs peut avoir une forte valeur prédictive.
Notre étude a comporté 323 cas : 217 cas d’infection génitale haute compliquée et 106 cas d’infection génitale haute non compliquée.Les deux principaux facteurs de risques retrouvés ont été le tabac et le dispositif inra-utérin .
Dans le groupe des infections génitales non compliquées, 97,3% des patientes ont eu un traitement médical exclusif.
Dans le groupe des infections génitales compliquées, 79,72% des patientes ont eu un traitement médical.
Le taux de succès a été de 73,72%.
La durée moyenne de l’antibiothérapie a été de 20,47 jours.
En cas de chirurgie, 36,41% des cas ont eu un traitement conservateur.
La standardisation des protocoles d’antibiothérapie dans la prise en charge des abcès tubo-ovarien est vivement recommandée.
Le traitement chirurgical par cœlioscopie doit être encouragé ainsi que les gestesconservateurs par rapport aux gestes radicaux.
Born in Tunis, Tunisia Doctor of Medicine, graduated from the Faculty of Medicine of Tunis.- Trained in gynecological& obstetrical surgery in university-based hospitals in Tunis.Graduated in gynecology& obstetrics, Faculty of Medicine of Tunis.Graduate in breast oncology and gynecology, Faculty of Medicine Claude Bernard, East
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