Opinion d'étudiants pour mieux comprendre la lutte contre le VIH/SIDA

Nohasoavina Razafindrakoto Andriamanalina

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Prise en charge psychologique des malades, obstacles, universitaires

Le SIDA demeure un fléau mondial.

Ce travail est une étude psychologique prospective basée sur un questionnaire d’opinions portant sur l’épidémiologie et la prévention de l’infection VIH/SIDA.

198 étudiants ont été questionnés dans les 5 cités universitaires d’Antananarivo en 2003 durant les périodes de vacances.

200 indicateurs d’aboutissement de l’enquête ont été établis.

Les résultats ont révélé que 75% n’arrivent pas à expliquer pourquoi la maladie est au stade généralisé actuellement, 89,4% n’acceptent pas que le condom empêche la transmission du virus ou stoppe le contact avec les sécrétions, 71,2% ne pensent pas être un participant pour faire quelque chose pour un ami atteint du virus, 95% ne pensent pas encore que la prévention de la maladie doit partir de chaque individu.

Le comportement sexuel des étudiants reste encore très pulsionnel, non raisonné même devant le danger que constitue l’infection.

L’information, l’éducation, la communication sur la maladie devront être renforcées.

L’adoption de l’enseignement apprentissage serait meilleure et non seulement théorique.

Chacun a sa part de résolution, ce problème étant difficile.

Nohasoavina RAZAFINDRAKOTO ANDRIAMANALINA, médecin diplômé d’Etat sortant de la Faculté de Médecine de l’université d’Antananarivo, est mariée et mère de deux enfants.

Elle aime se mettre au service des plus démunis.

Elle a toujours travaillé dans les ONG.

Depuis 2009, c'est dans un centre d'éveil d'enfants de quartiers pauvres avec Interaide.

Fiche technique