Application de l'EBP aux exercices non verbaux

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chez une cohorte de participants atteints de trisomie 21 en Côte d'Ivoire

Depuis quelques années, l’efficacité des exercices non-verbaux est remise en cause.

Mais force est de constater, que ces exercices sont encore largement utilisés dans la pratique clinique.

Le problème réside dans la perception de l’impact de ces traitements dans l’amélioration de la prise en charge des patients.

C’est donc à juste titre, que nous nous sommes intéressés à ce sujet, avec pour objectif d’évaluer l’impact des exercices non-verbaux sur l’amélioration de l’articulation et de l’intelligibilité de la parole, chez une cohorte de participants porteurs de trisomie 21.

Nous posons l’hypothèse selon laquelle, les exercices non-verbaux devraient être efficaces chez les personnes porteuses de trisomie 21, du fait des troubles moteurs à l’origine des difficultés d’articulation et de parole.

Pour atteindre les objectifs ainsi définis, l’étude a été menée auprès de 7 participants, dont l’âge moyen était 17,28 ans.

Les participants étaient inscrits au centre des handicapés notre dame de la paix du Plateau.

Orthophoniste et PhD student au Programme d’Implantation Cochléaire, Hôpital Mère-Enfant Dominique Ouattara de Bingerville et au Département des Sciences du Langage, Université Félix Houphouët Boigny, Abidjan (Côte d’Ivoire).

Ses recherches portent sur l’examen du développement du langage oral, le parcours de soin et ses difficultés.

Fiche technique