Le Bonheur : Trêve-Rite-Eudémonologie

Le bonheur est une notion ambigüe déterminée par certaines valeurs primordiales qui soutiennent l’atteinte du bien-être.

Intimes à l’humanité, les démarches eudémonologiques incluent des haltes atypiques, audacieuses combinant à l’infini des perspectives annonciatrices d’une béatitude liée à la liberté, à l’amour, au sexe…dédicacées au spirituel.

La trêve soutient une tendance cathartique nourricière de l’ego ; induisant moins de stress ainsi qu’une retenue anticipatoire lorsque le désir taraude l’être.De facto, elle s’ancre dans une symbolique d’extase, retentissant comme un héritage de religiosité où tant le sacré que le profane expriment les joies et identités tribales particulières.

La postmodernité est aussi à la recherche de cette parenthèse jubilatoire.

Elle s’exile sur la planète gay-pride, rave-party, carnaval, ketikoti… pour célébrer la vie afin de déstresser et renouer avec le moi idéal.