- Nouveau
Il pleut dans la forêt…
43,90 €
41,70 €
Économisez 5%
Je m’étais toujours dite que je le ferais un jour, que je finirais par faire connaitre aux autres ma capacité à synthétiser la réalité, à prendre des monceaux de vies et à les joindre bout à bout au point d’en faire une histoire.
Tout le monde a une manière propre à lui de voir la vie, la mienne encore à la traine venait du fait que mon père y décidait de tout.
Je n’avais d’autres choix que de lui obéir, c’était tout de même mon père, c’était un peu grâce à lui si j’étais en ce bas monde.
Il s’était toujours occupé de moi malgré ses nombreuses occupations, j’avais également la chance de le voir travailler à la maison.
Ce que j’avais à faire et qui constituait mon rêve le plus cher était d’être une auteure, quelqu’un qui en quelque sorte imposait sa vision des choses à ceux qui le liraient, cette faculté issue d’un rêve et nourrie d’une passion vibrait en moi, d’un côté comme de l’autre, tout humain qui se respecte finissait au moins par écrire ses mémoires ; des bans de sa vie qui servirait d’exemples aux générations futures.
Lire la suite
Patrick est né et a grandi à Yaoundé.
Après des études de droit, il participe à plusieurs concours littéraires dont celui de le concours national de la francophonie en 2019 dont il est le premier prix.
Suite à cette consécration, il se consacre pour bon à l'écriture de son premier roman.
Fiche technique
- Auteur
- PATRICK D’ATEMENGUE
- Année
- 2025
- Pages
- 180
- Éditeur
- Éditions Muse
- Langue
- Français
- Pays
Cameroun
30 autres produits dans la même catégorie :
Voir tout
Je m’étais toujours dite que je le ferais un jour, que je finirais par faire connaitre aux autres ma capacité à synthétiser la réalité, à prendre des monceaux de vies et à les joindre bout à bout au point d’en faire une histoire.
Tout le monde a une manière propre à lui de voir la vie, la mienne encore à la traine venait du fait que mon père y décidait de tout.
Je n’avais d’autres choix que de lui obéir, c’était tout de même mon père, c’était un peu grâce à lui si j’étais en ce bas monde.
Il s’était toujours occupé de moi malgré ses nombreuses occupations, j’avais également la chance de le voir travailler à la maison.
Ce que j’avais à faire et qui constituait mon rêve le plus cher était d’être une auteure, quelqu’un qui en quelque sorte imposait sa vision des choses à ceux qui le liraient, cette faculté issue d’un rêve et nourrie d’une passion vibrait en moi, d’un côté comme de l’autre, tout humain qui se respecte finissait au moins par écrire ses mémoires ; des bans de sa vie qui servirait d’exemples aux générations futures.