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Mon maître s'appelait Godouama Jean, mon père.
Je n'avais pas le droit d'être médiocre en classe, encore moins d'obtenir de mauvaises notes.
À l'époque déjà, la chicotte était utilisée à tour de bras.
Tous les jours, j'avais droit à des coups de bâton de mon maître.
Comme si cela ne suffisait pas, le même traitement se poursuivait à la maison car les exercices en classe étaient repris autant de fois jusqu'à ce que j'assimile.
Mon père voulait que je figure parmi les meilleurs de la classe.
À force d'être frappé, je rentrais presque toujours avec des traces de coups dans le dos que j'avais du mal à cacher ; ce qui provoqua souvent des disputes entre mes parents.
Car ma mère n'acceptait pas ce traitement particulier.
Je n'avais pas le droit d'être médiocre en classe, encore moins d'obtenir de mauvaises notes.
À l'époque déjà, la chicotte était utilisée à tour de bras.
Tous les jours, j'avais droit à des coups de bâton de mon maître.
Comme si cela ne suffisait pas, le même traitement se poursuivait à la maison car les exercices en classe étaient repris autant de fois jusqu'à ce que j'assimile.
Mon père voulait que je figure parmi les meilleurs de la classe.
À force d'être frappé, je rentrais presque toujours avec des traces de coups dans le dos que j'avais du mal à cacher ; ce qui provoqua souvent des disputes entre mes parents.
Car ma mère n'acceptait pas ce traitement particulier.
Originaire de Mbaïki (Lobaye) en République centrafricaine, marié et père de cinq enfants, Jean-Bernard Venant Godouama est un haut cadre de la Fonction publique (inspecteur principal des impôts) actuellement à la retraite.
Titulaire d un doctorat en science politique et d une maîtrise en droit, obtenus à l université de Toulouse 1 en France, cet universitaire, discret, continue de dispenser des cours à l université de Bangui.
Titulaire d un doctorat en science politique et d une maîtrise en droit, obtenus à l université de Toulouse 1 en France, cet universitaire, discret, continue de dispenser des cours à l université de Bangui.
Fiche technique
- Auteur
- Jean-Bernard Venant Godouama
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pages
- 194
- Pays
République centrafricaine
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Mon maître s'appelait Godouama Jean, mon père.
Je n'avais pas le droit d'être médiocre en classe, encore moins d'obtenir de mauvaises notes.
À l'époque déjà, la chicotte était utilisée à tour de bras.
Tous les jours, j'avais droit à des coups de bâton de mon maître.
Comme si cela ne suffisait pas, le même traitement se poursuivait à la maison car les exercices en classe étaient repris autant de fois jusqu'à ce que j'assimile.
Mon père voulait que je figure parmi les meilleurs de la classe.
À force d'être frappé, je rentrais presque toujours avec des traces de coups dans le dos que j'avais du mal à cacher ; ce qui provoqua souvent des disputes entre mes parents.
Car ma mère n'acceptait pas ce traitement particulier.
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À l'époque déjà, la chicotte était utilisée à tour de bras.
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Comme si cela ne suffisait pas, le même traitement se poursuivait à la maison car les exercices en classe étaient repris autant de fois jusqu'à ce que j'assimile.
Mon père voulait que je figure parmi les meilleurs de la classe.
À force d'être frappé, je rentrais presque toujours avec des traces de coups dans le dos que j'avais du mal à cacher ; ce qui provoqua souvent des disputes entre mes parents.
Car ma mère n'acceptait pas ce traitement particulier.