Le Conseil de la concurrence au Maroc fait actuellement l'objet de mutations, illustrées notamment par sa constitutionnalisation en 2011 et son installation en 2018, peinant à trouver sa place dans un contexte socioéconomique déjà délicat et complexe.
Des voix s'élèvent pour critiquer le déficit de concurrence, la prégnance de l'économie de rente, les monopoles injustifiés, les prix uniformes et certaines aides publiques de nature à fausser la concurrence.
Dans ce contexte, le présent ouvrage s'est attaché à examiner à quoi se réfèrent l'indépendance du Conseil de la concurrence du Maroc et sa régulation de la concurrence des marchés.
Le Conseil de la concurrence au Maroc fait actuellement l'objet de mutations, illustrées notamment par sa constitutionnalisation en 2011 et son installation en 2018, peinant à trouver sa place dans un contexte socioéconomique déjà délicat et complexe.
Des voix s'élèvent pour critiquer le déficit de concurrence, la prégnance de l'économie de rente, les monopoles injustifiés, les prix uniformes et certaines aides publiques de nature à fausser la concurrence.
Dans ce contexte, le présent ouvrage s'est attaché à examiner à quoi se réfèrent l'indépendance du Conseil de la concurrence du Maroc et sa régulation de la concurrence des marchés.
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