La confiance-système dans le domaine de gouvernance d'entreprise

Vu la divergence des intérêts des parties prenantes et leurs comportements opportunistes, la confiance interpersonnelle est difficilement envisageable entre les parties prenantes.

Chacune d’entre elles compte sur le système réglementaire de gouvernance pour protéger ses propres intérêts.

Leurs engagements sont liés à la confiance relative au niveau de sécurité de leurs intérêts, assurée par les mécanismes du système de gouvernance d’entreprise.

L’exemple de la crise de confiance de 2002, par la loi Sarbanes-Oxley, qui porte un ensemble de nouveaux mécanismes de gouvernance d’entreprise, le sénat américain a réussis à rétablir la confiance des agents économiques.

Grace à l’introduction des nouveaux mécanismes de gouvernance d’entreprise, les échanges économiques sont mis en hausse.

Donc une relation de confiance peut s’instituer entre les parties prenantes et la qualité du système de gouvernance d’entreprise.