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La dirofilariose humaine : à propos de deux cas diagnostiqués en Tunis
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La dirofilariose est une zoonose à transmission vectorielle due à une filaire du genre Dirofilaria.
L’hôte définitif est principalement le chien et l’homme constitue une impasse parasitaire.
L’espèce parasitaire la plus fréquemment détectée chez l'homme est Dirofilaria repens (D.repens).
L'objectif de notre travail était d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, biologiques ainsi que le traitement des dirofilarioses en rapportant deux cas de dirofilariose humaine à D.repens chez des patients Tunisiens.
Le 1ᵉʳ cas était un homme âgé de 79ans ayant une notion de contact avec des chiens qui se plaignaient d’une rougeur oculaire de l’œil droit résistante au traitement symptomatique.
L’examen ophtalmologique a mis en évidence un nématode filiforme en position sous-conjonctivale, secondairement extrait et identifié au laboratoire de parasitologie et mycologie comme D.repens.
Le 2ᵉ cas était un homme de 71 ans consultant pour un nodule sous-cutané périorbitaire et une tuméfaction frontale douloureuse sans fièvre.
L'exérèse chirurgicale a mis en évidence un nématode adulte identifié D.repens.
L'évolution était favorable dans les deux cas.
Docteur Fida MaatallahTunisienne, née le 24 juillet 1992.Médecine biologiste, spécialisée en parasitologie-mycologie.Diplômée de la faculté de médecine de Tunisie, de la faculté de médecine de Sfax et de la faculté de pharmacie de Monastir.Ancienne interne des hôpitaux de Tunis.
Fiche technique
- Auteur
- Fida Maatallah
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions universitaires européennes
- Pages
- 56
La dirofilariose est une zoonose à transmission vectorielle due à une filaire du genre Dirofilaria.
L’hôte définitif est principalement le chien et l’homme constitue une impasse parasitaire.
L’espèce parasitaire la plus fréquemment détectée chez l'homme est Dirofilaria repens (D.repens).
L'objectif de notre travail était d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, biologiques ainsi que le traitement des dirofilarioses en rapportant deux cas de dirofilariose humaine à D.repens chez des patients Tunisiens.
Le 1ᵉʳ cas était un homme âgé de 79ans ayant une notion de contact avec des chiens qui se plaignaient d’une rougeur oculaire de l’œil droit résistante au traitement symptomatique.
L’examen ophtalmologique a mis en évidence un nématode filiforme en position sous-conjonctivale, secondairement extrait et identifié au laboratoire de parasitologie et mycologie comme D.repens.
Le 2ᵉ cas était un homme de 71 ans consultant pour un nodule sous-cutané périorbitaire et une tuméfaction frontale douloureuse sans fièvre.
L'exérèse chirurgicale a mis en évidence un nématode adulte identifié D.repens.
L'évolution était favorable dans les deux cas.