A l'annonce de la disparition du militaire dictateur françafricain Gnassingbé Eyadéma le 5 février 2005, le peuple togolais se mit à rêver d'une vie meilleure...
mais, très vite, la haute hiérarchie des "Forces armées togolaises" et certains suppôts internationaux ont aidé son fils, Faure Essozimna, à prendre le pouvoir, grâce à une parodie d'élection arrosée de sang togolais.
Et, depuis, la comi-tragédie gnassingbéenne se poursuit au Togo.
A l'annonce de la disparition du militaire dictateur françafricain Gnassingbé Eyadéma le 5 février 2005, le peuple togolais se mit à rêver d'une vie meilleure...
mais, très vite, la haute hiérarchie des "Forces armées togolaises" et certains suppôts internationaux ont aidé son fils, Faure Essozimna, à prendre le pouvoir, grâce à une parodie d'élection arrosée de sang togolais.
Et, depuis, la comi-tragédie gnassingbéenne se poursuit au Togo.
En cliquant sur « Accepter », vous acceptez le stockage de cookies sur votre appareil pour améliorer la navigation sur le site, analyser son utilisation et contribuer à nos efforts de marketing. En savoir plus.