Qui est à l'origine du mal dans le monde ?
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Face à la question « Qui est à l'origine du mal dans le monde ? » plusieurs réponses sont possibles.
La religion nous parle d'abord de l'ange déchu ; ensuite du serpent trompeur du livre de la Genèse ; et enfin de Dieu dans certains cas comme celui de Job.
La philosophie se lance premièrement dans une distinction entre le mal et le bien ; deuxièmement elle fait mention de la question de la liberté humaine ; et troisièmement elle souligne l'idée de la permission : Dieu qui peut aussi permettre le mal en vue d'un plus grand bien.
Au regard de toutes ces réponses, nous jugeons mieux pour notre part de prendre le mal cas par cas en mettant d'un côté tout ce qui est volontaire et de l'autre côté tout ce qui est involontaire.
Et c'est ce qui nous a permis de comprendre que l'idéal n'est pas de chercher toujours à condamner Dieu ou le diable, parce que la majorité de tout ce que nous avons subi et continuons de subir vient de nous-mêmes ; vient soit de notre propre volonté soit de notre agir involontaire.
C'est à nous d'en prendre conscience et de faire un dépassement.
La religion nous parle d'abord de l'ange déchu ; ensuite du serpent trompeur du livre de la Genèse ; et enfin de Dieu dans certains cas comme celui de Job.
La philosophie se lance premièrement dans une distinction entre le mal et le bien ; deuxièmement elle fait mention de la question de la liberté humaine ; et troisièmement elle souligne l'idée de la permission : Dieu qui peut aussi permettre le mal en vue d'un plus grand bien.
Au regard de toutes ces réponses, nous jugeons mieux pour notre part de prendre le mal cas par cas en mettant d'un côté tout ce qui est volontaire et de l'autre côté tout ce qui est involontaire.
Et c'est ce qui nous a permis de comprendre que l'idéal n'est pas de chercher toujours à condamner Dieu ou le diable, parce que la majorité de tout ce que nous avons subi et continuons de subir vient de nous-mêmes ; vient soit de notre propre volonté soit de notre agir involontaire.
C'est à nous d'en prendre conscience et de faire un dépassement.
Jordy-Jésus Pamo est séminariste du diocèse de Mbaïki (RCA).
Il vient de finir le cycle de philosophie et entame actuellement celui de théologie au Grand Séminaire Saint-Marc de Bangui-Bimbo (RCA).
Durant sa formation philosophique, il a rencontré le problème de l'origine du mal.
Il a commencé à en faire le thème de son mémoire de fin de cycle de philosophie ; pour ensuite en faire le sujet principal de ce livre qui est sa première publication.
Il vient de finir le cycle de philosophie et entame actuellement celui de théologie au Grand Séminaire Saint-Marc de Bangui-Bimbo (RCA).
Durant sa formation philosophique, il a rencontré le problème de l'origine du mal.
Il a commencé à en faire le thème de son mémoire de fin de cycle de philosophie ; pour ensuite en faire le sujet principal de ce livre qui est sa première publication.
Fiche technique
- Auteur
- Jordy-Jésus Pamo
- Éditeur
- L'Harmattan
- Pages
- 72
- Pays
République centrafricaine
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La philosophie se lance premièrement dans une distinction entre le mal et le bien ; deuxièmement elle fait mention de la question de la liberté humaine ; et troisièmement elle souligne l'idée de la permission : Dieu qui peut aussi permettre le mal en vue d'un plus grand bien.
Au regard de toutes ces réponses, nous jugeons mieux pour notre part de prendre le mal cas par cas en mettant d'un côté tout ce qui est volontaire et de l'autre côté tout ce qui est involontaire.
Et c'est ce qui nous a permis de comprendre que l'idéal n'est pas de chercher toujours à condamner Dieu ou le diable, parce que la majorité de tout ce que nous avons subi et continuons de subir vient de nous-mêmes ; vient soit de notre propre volonté soit de notre agir involontaire.
C'est à nous d'en prendre conscience et de faire un dépassement.
La religion nous parle d'abord de l'ange déchu ; ensuite du serpent trompeur du livre de la Genèse ; et enfin de Dieu dans certains cas comme celui de Job.
La philosophie se lance premièrement dans une distinction entre le mal et le bien ; deuxièmement elle fait mention de la question de la liberté humaine ; et troisièmement elle souligne l'idée de la permission : Dieu qui peut aussi permettre le mal en vue d'un plus grand bien.
Au regard de toutes ces réponses, nous jugeons mieux pour notre part de prendre le mal cas par cas en mettant d'un côté tout ce qui est volontaire et de l'autre côté tout ce qui est involontaire.
Et c'est ce qui nous a permis de comprendre que l'idéal n'est pas de chercher toujours à condamner Dieu ou le diable, parce que la majorité de tout ce que nous avons subi et continuons de subir vient de nous-mêmes ; vient soit de notre propre volonté soit de notre agir involontaire.
C'est à nous d'en prendre conscience et de faire un dépassement.